Ceux qui me connaissent déjà, savent que je suis un alsacien d’origine. Ayant posé 2 semaines de congés pour un peu liquider le solde restant (et pourtant je n’en ai pas plus que les 5 semaines légales), j’en ai profiter pour planifier un petit retour aux sources chez papa/maman, voir un peu la famille, et changer de décor.
C’est donc sous la pluie que je suis parti dimanche soir attraper le train Corail Lunéa de 23h19. En remerciant au passage la SNCF d’avoir inversé les wagons entre l’avant et l’arrière du train. Il a fallu se taper toute la longueur du quai pour rentrer de justesse dans le train. Ils étaient en avance pour le poisson d’avril.
Pour à peine 5€ de plus, j’en ai profité pour tester les couchettes en première classe. Expérience à refaire selon moi. On est que 4 par cabine, donc forcément plus de place en hauteur. Celles-ci sont également plus confortables, les banquettes en cuir dur et froid étant remplacées par des matelas en mousse plus agréables au toucher, il y a de la moquette dans le couloir…
Enfin bref, j’arrive tranquillement avec une demi-heure de retard en gare de Strasbourg, ce qui n’est pas dérangeant, car Joe et Martial, les potes qui viennent me récupérer ne viennent que pour 10h. Du coup j’en profite pour me poser dans la jolie bulle de verre qui protège le monument historique devenu récemment gare TGV.
Après un petit McMorning autour d’un WiFi, on profite du petit brin de soleil que j’ai emmené avec moi pour se promener dans le centre-ville. J’y ai même découvert « Strasbourg Plage ».
On en profite pour prendre l’apéro, un amer bière avec une pointe de citron, spécialité régionale et il a été parfait. Un très bon dosage du Picon, une pointe de citron, et de la bonne bière pression. Un régal.
Après ça, direction le Wok-Thai pour manger un plat de kangourou bien épicé avec des pâtes. Super également.
Sur ce, vu l’heure déjà bien avancée de la journée, on se mets en route, équipés des talkies-walkies histoire de se raconter plein de conneries durant tout le trajet. Bien pratique aussi quand on se fait piéger par les feux-rouges, ou que Joe tourne à gauche pour suivre son GPS alors qu’il fallait aller tout droit pour arriver chez moi. A se demander ce qui est passé par la tête du GPS à ce moment la.
Ce qui est certain, c’est que pour le weekend qui s’annonce à Lyon, on va bien s’en servir de ces machins la.
J’ai hâte, j’ai hâte (je tenterai de raconter tout ca ^^)