mercredi, 27 janvier 2010 @ 8:10 Vincent
J’avais oublié de le signaler lors de mon bilan post-installation de Snow Leopard, faute de m’en être aperçu à temps. Il y a un truc super agaçant depuis la mise à jour, c’est le fonctionnement de la touche F8, celle qui jusqu’à présent permettait de mettre Spotify en mode pause d’un seul appui de touche, peu importe où l’on se trouve. Pas qu’elle ne fonctionne plus pour mettre sa playlist en pause, mais elle en fait un peu trop. En effet, elle est capturée aussi par iTunes, que celui-ci soit lancé ou non, ce qui fait qu’en mettant Spotify en pause, c’est iTunes qui démarre, et la fois d’après, c’est la lecture qui débute. Grosse cacophonie !!!
Du coup il fallait que je fasse quelque chose, et j’ai demandé conseil à mon pote Google qui m’a renvoyé directement chez Apple et son support. Pas de réglage possible via les Préférences Système, vous vous en doutez bien, surtout que j’ai déjà bien cherché. Par contre une jolie solution de contournement qui consiste à remplacer l’exécutable iTunes par un petit script en Python qui lors de son exécution va regarder si Spotify (et autres) sont démarrés. Si oui, on ne fait rien, et si non démarré, alors on lance iTunes.
#!/usr/bin/env python
import sys, os, subprocess
launch = True
blocker = ""
apps = ["Ecoute", "Spotify", "Songbird", "Mplayer OSX Extended", "Mplayer", "Alarm Clock Pro"]
ps = subprocess.Popen("/bin/ps -x", shell=True, stdout=subprocess.PIPE)
for line in ps.stdout.read().split("\n"):
for app in apps:
if app in line:
launch = False
blocker = app
ps.stdout.close()
if launch :
os.spawnvp(os.P_WAIT, '/Applications/iTunes.app/Contents/MacOS/iTunesX', sys.argv)
else :
print "Not launching iTunes while %s is running." % blocker
Ce script est à placer dans dans /Applications/iTunes.app/Contents/MacOS/, puis il suffit de le mettre en lieu et place du binaire iTunes qu’on aura renommé en iTunesX au préalable. Le tout s’effectuant avec les commandes shell suivantes :
cd /Application/iTunes.app/Contents/MacOS
sudo mv iTunes iTunesX
sudo mv iTunes.py iTunes
sudo chown root:admin iTunes
sudo chmod 0755 iTunes
Astucieux n’est-ce pas ? Le seul truc embêtant, c’est que l’on ne peut plus démarrer iTunes volontairement si Spotify est démarré, genre pour synchroniser son iPhone. Mais il suffit d’anticiper et de le lancer en premier. Interrogation aussi: les mises à jour d’iTunes fonctionneront-elles ? Affaire à suivre.
PS: Et j’en ai profité pour installer un plugin de coloration syntaxique
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mardi, 1 septembre 2009 @ 22:06 Vincent
Et voilà, une petite heure après le début de l’installation, je peux débuter la rédaction de cet article. L’installation en elle même est aisée et il semble inutile de la détailler, surtout que plein de sites la détaillent. On mets le DVD dans le lecteur, on cliques sur Installer, on confirme le disque sur lequel on veut installer, et là y’a plus qu’une chose à faire: attendre la fin. Et comme par magie, chanceux que je suis, je me retrouve avec mon bureau tel que je l’avais laissé.
Une petite vérification, et oui, je suis bien sous Mac OS 10.6.

Ca, c’est fait. Maintenant y’a plus qu’à scruter les différentes applications, et voir si tout marche encore, car comme tout mauvais informaticien, je n’ai pas pris soin de savoir si toutes mes applications installées allaient encore fonctionner. Mais je n’utilise rien de super critique.
Premier démarrage de Mail, il me souhaite la bienvenue et se charge de “convertir” ma base sans rien perdre comme données. Il m’indique juste que le plugin WideMail que j’utilise n’est pas compatible, et est par conséquent désactivé. Mon pote Google me rassure en me disant que le développeur du plugin travaillait à rendre celle-ci compatible. Donc on va attendre un peu avant de retrouver la visualisation des mails sur le côté et non en bas…
Concernant la nouveauté du support d’Exchange, n’ayant pas d’Exchange, ça ne me sera pas d’une grande utilité.
Le carnet d’adresse, vide me concernant (il faut que je songe à importer les contacts depuis Outlook) ne semble pas broncher. A croire que rien n’est modifié.
iCal fait de même. Rien ne bouge, et on ne va pas s’en plaindre.
Navigation Internet
Safari 4 : no soucy, je tourne avec pour rédiger l’article. Par contre le plugin X-Marks (pour synchroniser mes bookmarks avec mes divers Firefox) n’est plus présent dans ma barre de menu. A investiguer, mais mon pote Google me confirme que des gens ont eu des soucis avec, donc je dois être dans la même situation.
Belle transition concernant Firefox 3.0.12. Il en profite pour se mettre à jour, car ça fait un bail que je ne l’avais pas lancé. Pour le moment il semble fonctionner sans plantage (et Xmarks sous forme d’extension fonctionne).
Communication
iChat bronche pas d’un poil, ce qui n’est pas le cas d’aMSN qui a quitté de manière imprévue

J’espère que personne ne va appeler la Police, ne me voyant pas me connecter. Mais on désespère pas, on va sur le site officiel récupérer la dernière version 0.97. Moment d’espoir, et en fait non, patatra. le site de Tom Hennigan
Et là, toujours mon pote Google à la rescousse. Il y a une version plus récente sur le site de Tom (visiblement le développeur de la version Mac), la 0.98 qui est censée fonctionner sous Snow Leopard. Et je confirme, cette version fonctionne. Et là où je suis vraiment content, c’est que l’interface est vachement plus réactive qu’avant. Hélas, impossible de dire si ça provient d’un développement spécifique pour Snow Leopard qui accélère le programme, où si c’est parce que j’utilisais une version pas à jour.
Pour Twitter, j’utilise Seesmic Desktop depuis pas mal de temps. Je sais pas pourquoi, mais je ne semblai pas inquiet quand à la mise à jour, vu que ca utilise la plateforme Adobe Air (qui j’imagine a pu anticiper les développements). Et je ne me suis pas trompé, aucun soucis.
Musique / Vidéo
- iTunes : RAS
- Spotify : RAS
- VLC : RAS
- QuickTime 10 : belle nouveauté, rapide, avec une interface soignée. Plus de menu sous la vidéo, les boutons de lecture/pause/avance… s’incrustent par dessus la vidéo. Et à confirmer, mais j’ai bien l’impression que ça lit les WMV en natif, ce qui me permet d’éviter la case “WMV Player” qui effectuait une pseudo-conversion de la vidéo avant sa lecture. Et ça j’approuve grandement.
Photo
- iPhoto 08 : RAS
- PhotoShop CS 4 : RAS
Divers
Imprimante
Il s’agit là d’un edit en date de février 2010, soit plus de 5 mois après avoir fait la mise à jour. Me servant très peu de mon imprimante/scanner all-in-one HP C4480, je ne m’en suis pas vraiment rendu compte jusqu’à présent. Enfin si, un jour j’ai voulu imprimer, et l’encre noire n’est jamais sortie malgré mes multiples nettoyages de tête d’impression. J’en avais conclu que la tête d’impression (intégrée à la cartouche) s’était bouchée par inactivité.
Ce jour je me décide à scanner un document, et l’imprimante n’est plus reconnue par le logiciel de numérisation. Je récupère donc des pilotes prévus pour Snow Leopard, et non seulement le scanner sera reconnu, mais mes impressions re-fonctionnent de nouveau normalement.
Voilà pour les diverses applications que j’utilise de façon régulière. La suite, on verra au fil de l’eau.
Histoire de conclure, et bien j’ai envie de dire que c’est pas trop mal. Peu de dégâts, rien d’insurmontable, pas dépaysé du tout par les changements que je n’ai de toute façon pas encore eu l’occasion de découvrir. Pour les améliorations apportées, je m’exprimerai plus tard.
Et je vais laisser le mot de la fin à Time Machine : 4,61 Go sur 8,5 Go.
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mardi, 1 septembre 2009 @ 0:29 Vincent
Si si, je vous assure. Enfin le temps de trouver un moment pour faire la mise à jour…

… et peut-être une bonne sauvegarde avant.
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vendredi, 23 janvier 2009 @ 22:50 Vincent
Ce billet était annoncé la semaine dernière, le voici. Maintenant que je dispose d’un disque dur externe, je peux mettre en place ma stratégie de sauvegarde via Time Machine, l’outil de sauvegarde intégré dans Leopard.
Vous allez voir, c’est enfantin de mettre en place une stratégie de sauvegarde permettant de revenir sur ses pas en cas de crash disque, mais aussi plus banalement en cas de suppression par erreur, de corruption des données, …
Le principe de Time Machine
Le leitmotiv de Time Machine: configurez-le et n’y pensez plus. Pour l’avoir mis en place depuis une semaine, il est vrai qu’on l’oublie très vite.
En effet, l’outil se veut d’être totalement transparent pour l’utilisateur lambda, mais se doit de pouvoir répondre aux besoins de restauration.
Lors de son premier paramétrage, une image complète de la machine sera réalisé, servant de référence pour les sauvegardes qui succéderont.
Chaque heure, une image sera prise et conservée pendant 24 heures. Une image par jour sera prise et conservée durant un mois. Et chaque semaine, une image sera prise et conservée ad vitam eternam, ou plutôt jusqu’à la saturation du disque dur.
Selon la taille du disque, et l’activité en mise à jour, on peut donc revenir parfois très longtemps en arrière en cas de fichier disparu. Une fois le disque plein, Time Machine vous préviendra qu’il va commencer à supprimer des anciennes sauvegardes.
Mise en place de Time Machine
Une fois le disque USB branché, dans l’interface de configuration, on peut choisir le disque qui servira à faire la sauvegarde. Comme vu dans l’article précédent, mon disque USB contient 2 partitions, l’une en HFS+ et l’autre en FAT32.

Time Machine ne gère que les systèmes de fichiers Mac (HFS et HFS+), je choisirai dont la partition que j’avais créé spécialement pour ca.

Et voila, j’ai presque envie de dire que c’est terminé. En tout cas on pourrait s’arrêter là. Car à cet instant, la première sauvegarde totale du système va être réalisée, les prochaines se basant sur cette référence.
Exclure des répertoires à ne pas sauvegarder
En cliquant sur “Options” des préférences de Time Machine, on peut simplement exclure les fichiers ou répertoires. Sont par défaut exclus les médias externes (le disque USB lui-même).
Pour ma part, je vais exclure le répertoire dans lequel je stocke mes machines virtuelles VMWare. Les fichiers sont assez gros, évoluent à chaque utilisation, ce qui occuperait donc pas mal de place.

Voila pour la configuration de Time Machine. Pour la restauration, on va essayer de ne pas en avoir besoin tout de suite, mais pour avoir au moins regardé à quoi ca ressemblait, le fonctionnement est simple. Via une interface multidimensionnelle (je vous rappelle que le voyage dans le temps représente la 4ème dimension), on utilise son Finder tel qu’il se présentait à une heure passée, et à partir de là on peut aisément restaurer ce qu’on souhaite.

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mercredi, 14 janvier 2009 @ 18:35 Vincent
Vous allez me dire, il était temps. Oui, je viens enfin d’acheter un disque dur externe, et même pas en soldes. J’ai longtemps hésité entre acheter un modèle 2,5″ facilement transportable, auto-alimenté par le port USB, mais plus cher et d’une capacité moindre, ou un modèle 3,5″ à alimentation séparée, ou encore un NAS Synology. Même si je n’ai pas exclu l’idée d’acheter un NAS afin de remplacer mon vieux serveur sous Linux (qui héberge ma galerie, quelques pages sans intérêt, mon client IRC, et mon gestionnaire de téléchargements), j’ai opté pour un disque Packard Bell Grafite de 1To en 3,5″ avec à la fois la connexion USB2 mais aussi Ethernet (ça sera plus rapide des fois que je m’en serve depuis mes vieux PC en USB1). Le tout pour 125€, ça faisait pas cher.
Il me servira principalement pour 2 choses :
- Faire la sauvegarde du Mac via Time Machine (qui fera sans nul doute l’objet du prochain billet de la saga iMac n00b)
- Pouvoir transporter ou récupérer un gros volume de données
Pourquoi partitionner ?
Pour se faire, je vais avoir besoin de partitionner le disque dur, car :
- Time Machine fonctionne sans limite de rétention, donc en allouant tout l’espace, il finira par tout saturer et il ne restera plus d’espace pour le reste
- Le transport de données s’effectuant quasiment qu’avec des PC, un formatage en FAT (ou NTFS) s’avère indispensable, et pour Time Machine, ça fonctionnera surement mieux en HFS (le format Mac)
Comment partitionner ?
Une fois le disque branché et reconnu, il apparait sur mon bureau à côté de mon disque interne :

Toute la manipulation va s’effectuer à partir de l’application “Utilitaire de Disque” (qu’on trouve dans les applications, dans le sous-répertoire “Utilitaires”). Lire la suite »
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