dimanche, 16 août 2009 @ 15:19 Vincent
Hier soir, lors d’une de mes escales en train, je fais un tour feuilletage de revues et je tombe sur un dossier consacré à MobileMe et les alternatives gratuites. Ca tombe bien, je cherche depuis quelques temps à trouver un moyen pour synchroniser mon agenda local avec celui du boulot qui est sous Lotus Notes. Et l’article indique que Google Calendar remplis bien son rôle à ce niveau là. J’avais donc vu juste.
Pour débuter, je m’abonne simplement à mes calendriers depuis iCal, mais l’accès ne se fait qu’en lecture, ce qui est un peu dommage. Mais une recherche me permet de trouver comment effectuer une synchronisation totale.
Je ne vais pas vous refaire l’article, mais ce qu’il faut retenir, c’est que vous aurez besoin de l’URL de votre calendrier Google. Pour un calendrier principal, il s’agit de :
- https://www.google.com/calendar/dav/votreadressemail@gmail.com/user
Là où ca se complique à peine, c’est si vous avez créé d’autres calendriers (me concernant, j’ai un second calendrier pour le travail, lequel me permet d’enregistrer mes postes, histoire de pas avoir à me demander le dimanche soir à quelle heure je suis censé commencer le lundi matin).
Du coup, pour récupérer l’URL de ce second calendrier, ca se passe sur l’interface web de Google Calender. Sur la page de paramètre du calendrier en question, on retrouve le passage là :

A partir de cette adresse, vous pouvez reconstituer l’URL à insérer dans iCal :
- https://www.google.com/calendar/dav/r2im***f07k@group.calendar.google.com/user
Par contre, il faut bien noter que l’identifiant et le mot de passe sera toujours celui de votre compte Gmail, cette pseudo adresse mail ne servant qu’à l’URL du calendrier.
Et voilà, à partir de maintenant, vous pourrez créer vos entrées d’agenda directement depuis iCal quand vous êtes chez vous, et les consulter/mettre à jour d’ailleurs depuis l’interface web. Et si ça vous chante, il doit y avoir moyen de synchroniser de la même façon avec un iPhone.

PS: Cet article est dans mes brouillons depuis fin 2008, du coup l’intro est complètement hors contexte, mais c’est pas grave, j’assume.
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vendredi, 23 janvier 2009 @ 22:50 Vincent
Ce billet était annoncé la semaine dernière, le voici. Maintenant que je dispose d’un disque dur externe, je peux mettre en place ma stratégie de sauvegarde via Time Machine, l’outil de sauvegarde intégré dans Leopard.
Vous allez voir, c’est enfantin de mettre en place une stratégie de sauvegarde permettant de revenir sur ses pas en cas de crash disque, mais aussi plus banalement en cas de suppression par erreur, de corruption des données, …
Le leitmotiv de Time Machine: configurez-le et n’y pensez plus. Pour l’avoir mis en place depuis une semaine, il est vrai qu’on l’oublie très vite.
En effet, l’outil se veut d’être totalement transparent pour l’utilisateur lambda, mais se doit de pouvoir répondre aux besoins de restauration.
Lors de son premier paramétrage, une image complète de la machine sera réalisé, servant de référence pour les sauvegardes qui succéderont.
Chaque heure, une image sera prise et conservée pendant 24 heures. Une image par jour sera prise et conservée durant un mois. Et chaque semaine, une image sera prise et conservée ad vitam eternam, ou plutôt jusqu’à la saturation du disque dur.
Selon la taille du disque, et l’activité en mise à jour, on peut donc revenir parfois très longtemps en arrière en cas de fichier disparu. Une fois le disque plein, Time Machine vous préviendra qu’il va commencer à supprimer des anciennes sauvegardes.
Mise en place de Time Machine
Une fois le disque USB branché, dans l’interface de configuration, on peut choisir le disque qui servira à faire la sauvegarde. Comme vu dans l’article précédent, mon disque USB contient 2 partitions, l’une en HFS+ et l’autre en FAT32.

Time Machine ne gère que les systèmes de fichiers Mac (HFS et HFS+), je choisirai dont la partition que j’avais créé spécialement pour ca.

Et voila, j’ai presque envie de dire que c’est terminé. En tout cas on pourrait s’arrêter là. Car à cet instant, la première sauvegarde totale du système va être réalisée, les prochaines se basant sur cette référence.
Exclure des répertoires à ne pas sauvegarder
En cliquant sur “Options” des préférences de Time Machine, on peut simplement exclure les fichiers ou répertoires. Sont par défaut exclus les médias externes (le disque USB lui-même).
Pour ma part, je vais exclure le répertoire dans lequel je stocke mes machines virtuelles VMWare. Les fichiers sont assez gros, évoluent à chaque utilisation, ce qui occuperait donc pas mal de place.

Voila pour la configuration de Time Machine. Pour la restauration, on va essayer de ne pas en avoir besoin tout de suite, mais pour avoir au moins regardé à quoi ca ressemblait, le fonctionnement est simple. Via une interface multidimensionnelle (je vous rappelle que le voyage dans le temps représente la 4ème dimension), on utilise son Finder tel qu’il se présentait à une heure passée, et à partir de là on peut aisément restaurer ce qu’on souhaite.

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mercredi, 14 janvier 2009 @ 18:35 Vincent
Vous allez me dire, il était temps. Oui, je viens enfin d’acheter un disque dur externe, et même pas en soldes. J’ai longtemps hésité entre acheter un modèle 2,5″ facilement transportable, auto-alimenté par le port USB, mais plus cher et d’une capacité moindre, ou un modèle 3,5″ à alimentation séparée, ou encore un NAS Synology. Même si je n’ai pas exclu l’idée d’acheter un NAS afin de remplacer mon vieux serveur sous Linux (qui héberge ma galerie, quelques pages sans intérêt, mon client IRC, et mon gestionnaire de téléchargements), j’ai opté pour un disque Packard Bell Grafite de 1To en 3,5″ avec à la fois la connexion USB2 mais aussi Ethernet (ça sera plus rapide des fois que je m’en serve depuis mes vieux PC en USB1). Le tout pour 125€, ça faisait pas cher.
Il me servira principalement pour 2 choses :
- Faire la sauvegarde du Mac via Time Machine (qui fera sans nul doute l’objet du prochain billet de la saga iMac n00b)
- Pouvoir transporter ou récupérer un gros volume de données
Pourquoi partitionner ?
Pour se faire, je vais avoir besoin de partitionner le disque dur, car :
- Time Machine fonctionne sans limite de rétention, donc en allouant tout l’espace, il finira par tout saturer et il ne restera plus d’espace pour le reste
- Le transport de données s’effectuant quasiment qu’avec des PC, un formatage en FAT (ou NTFS) s’avère indispensable, et pour Time Machine, ça fonctionnera surement mieux en HFS (le format Mac)
Comment partitionner ?
Une fois le disque branché et reconnu, il apparait sur mon bureau à côté de mon disque interne :

Toute la manipulation va s’effectuer à partir de l’application “Utilitaire de Disque” (qu’on trouve dans les applications, dans le sous-répertoire “Utilitaires”). Lire la suite »
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dimanche, 11 janvier 2009 @ 18:06 Vincent
Intrigué par ce à quoi peut ressembler la future mouture de Windows, destinée à remplacer l’échec que représente Vista pour beaucoup de gens, j’ai profité de la diffusion de la Beta 1 au grand public pour l’installer. N’ayant pas de PC assez puissant pour l’acceuillir, c’est une machine virtuelle sur mon iMac qui l’hébergera, le temps de faire mumuse avec.

Histoire de partager cette première expérience, je vous détaille pas à pas les différentes étapes de l’installation.
Création d’une machine virtuelle sous VM Ware Fusion
Dans VM Ware Fusion, ajouter une machine.

L’installation se faisant sans CD/DVD (le DVD aura été téléchargé en tant qu’image ISO chez Microsoft), on fait “Continuer sans disque”, et on indique ci-dessous l’emplacement de celle-ci.
A noter que j’ai téléchargé la version 64 bits (3,1Go), étant équipé d’un iMac à processeur Intel Core 2 Duo et qui supporte les architectures 64 bits (les Core Duo tout court sont en 32 bits).

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lundi, 5 janvier 2009 @ 23:29 Vincent
Bon alors là c’est vraiment un sujet très neuneu. Pour la peine, j’ai quand même fait une recherche Google avant de chercher par moi-même, et tout compte fait, c’est tout aussi simple que sous Windows (désolé d’avoir gardé certaines références).
Je disais donc, je veux installer une police que j’avais sur mon PC sous XP. J’ai donc récupéré le fichier .ttf et je l’ai copié sur un disque partagé accessible depuis le Mac.

Un simple double-clic ouvre une fenêtre d’aperçu de celle-ci. Un clic plus loin sur “Installer la police” et voilà que la police est installée dans le Livre des Polices et accessible via mon compte. En fait elle est tout banalement copiée dans mon répertoire de fonts personnelles à savoir /Users/cybervince/Library/Fonts et si l’on souhaite qu’elle soit accessible à l’ensemble des utilisateurs du poste, il suffit de la copier dans /Library/Fonts


Enfantin. Reste maintenant à m’en servir sous Photoshop ^^
PS: Oui, c’est la police qu’on trouve en bonus sur l’album I Com de Miss Kittin
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