Que l’on soit amateur ou non de cyclisme, quand le Tour de France (compétition sportive la plus suivie dans le monde après les J.O. et la Coupe du Monde de Football), on est obligé de le savoir. Et si ce n’est pas la communication faite autour de l’événement qui vous en informe, c’est les difficultés de circulation dès lors qu’on passe à proximité du parcours.
Me concernant, je suis dans la catégorie des gens qui suivent de très loin le sport, mais qu’aller assister à un événement de cette ampleur est toujours appréciable. Et ça tombe bien, lundi quand la boucle a décidé de faire étape à La Grande Motte, je finissais le boulot à 15h. Direction donc la Grande Motte, en temps normal vingt petites minutes de route, en cas de 2×2 voies fermée une grosse heure. Il fallait s’y attendre, mais paradoxalement, j’ai pu trouver une jolie place de stationnement à l’ombre des pins à 15 minutes de marche du Port à côté duquel se déroule l’arrivée.
Il est donc 16h passé, et c’est la caravane publicitaire qui est en train de passer. Matraquage publicitaire, jolies hôtesses, arrosage de la foule, …